BONGA
Bercée par des rythmes chaloupés inspirés parfois de l’énergie du soukouss, la voix éraillée de Bonga porte des paroles imprégnées de la mélancolie d’un peuple floué. Né en 1943 à Kipiri, le maître du semba a toujours milité contre le colonialisme et le domination portugaise. Très jeune, il décide de changer son nom trop colonial, (José Adelino Barcelo) pour un nom plus africain : Bonga Kuenda. Il a sorti depuis des dizaines de disques, enchaînant les tubes planétaires (dont l’exceptionnel Mona Ki Ngi Xica, en playlist depuis les 90’s sur Radio Nova) et les concerts où la chaleur de sa musique prend toute son ampleur.
Plus d’informations sur le site du Rocher de Palmer.
Et toi, tu fais quoi ce week-end ?